mercredi 24 avril 2024

Washington a time... Oregon - étape 1 : Portland


L'Oregon : j'ai beaucoup eu droit à la question"pourquoi l'Oregon ? Qu'est-ce qu'il y a à voir ?" 
Alors pourquoi : parce qu'on poursuit notre quête des paysages Star Wars et là, on va au pays des Ewoks (comme ça, on reste bloqués à 40 ans) et puis, parce qu'aux États-Unis, on rêve de grands espaces et l'Oregon offre du vert à perte de vue. 
A mes collègues, au déjeuner, qui me demandaient ce que j'allais voir, je leur ai dit qu'on reprendrait cette conversation au retour des vacances et que j'en saurai plus à ce moment-là...Je dois avouer qu'à gérer le quotidien au jour le jour, je ne trouve pas l'énergie de me projeter sur les vacances et que je laisse cette tâche en toute confiance (et lâchement) à mon GO préféré.

Alors on a pas mal cherché la devise de l'État : il faut dire que quand on arrive en avion, on n'a pas l'occasion de passer le panneau d'entrée dans l'État qui annonce la couleur mais parfois, on la retrouve écrite dans les magasins, souvent sur les plaques d'immatriculation, mais ici rien. En la trouvant sur Wikipédia, je me dis que le fait qu'elle soit en latin n'est peut-être pas assez vendeur : Alis volat propriis. Alors pour le merchandising, il pique la devise des autres : sur le sac ci-dessous, c'est celle de la Virginie ! 

Portland :
- aka Bridge town (il y en a 12), 


- aka Soccer city USA (ils ont une très bonne équipe de foot féminin notamment), 
- biketown (il y a des pistes cyclables partout mais on n'a pas beaucoup vu les cyclistes, ni trop les voitures d'ailleurs). 
- aka the Rose city (on est arrivés un peu trop tôt).



La devise de la ville : Keep Portland weird ! Ici, l'excentricité est cultivée. Les couleurs de cheveux ont compensé la floraison à venir du Rose Test Garden.


Sur les hauteurs de la ville, outre les jardins des roses et japonais aménagés, on entre très vite dans la forêt : les arbres sont gigantesques et quelle formidable surprise de pouvoir enfin se retrouver au milieu de séquoias géants ! 




Quelques murals ponctuent la ville et participent de son identité.


Au centre, qui se parcourt très bien à pied, on profite du Portland Saturday market (également le dimanche) pour découvrir artisanat local et spécialités alimentaires.





La librairie Powell's books : la plus grande du monde (*source : les Américains). C'est immense, spacieux, un lieu très agréable mais est-ce que c'est plus grand que Gibert à Paris, par exemple ? Pas sûr... 




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